Les questions essentielles
J’ai lancé le hashtag #LesQuestionsEssentielles pour mettre en lumière les questions que personne ne se pose, et auxquelles, par conséquent, personne ne répond. Quoique…
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Quand la réalité dépasse la fiction, est-ce qu’elle met son clignotant ?
Écrire à la main, est-ce donner du style aux billes ?
Ne vaut-il pas mieux casser la cruche avant qu’elle n’aille tant à l’eau ?
Comment savoir où l’hippocampe ? Où le caniche ? Où le condor ?
(Moi, je sais seulement où le hamster : chez Pierre Desproges.)
Les climatosceptiques sont-ils les moutons de pas n’urge ?
[#ironème #LesQuestionsEssentielles]
Qui a cassé le vase de Jean-Pierre ?
[#ironème #LesQuestionsEssentielles]
Chouraver, c'est mal.
Choufleurir, c'est mieux ?
— Tu t’appelles vraiment Van Dyck, comme le peintre ?
— Oui et non. Van Dyck est mon nom de plume.
— D’accord. Et quel est ton nom de plomb ?
Est-ce que le tumulus tue l’humus ?
Faut-il prendre le train en marche pour traverser la Marche en train ?
Peut-on dire d’une personne qui ne se mouille pas qu’elle est à côté de la flaque ?
[#ironème #LesQuestionsEssentielles]
S’enfouir, est-ce prendre la fouite ?
Quand on est secrétaire, doit-on absolument secrets taire ?
Sont-ce les mots qui nous manquent, ou est-ce l’aimant qui nous moque ?
Pourquoi dit-on « au grand minimum » et non « au petit minimum » ?
Rien n’est à qui ?
Le flegme, c’est bien joli, mais avez-vous jamais essayé de partir en voyage sans vous emporter ?
Une réponse, essentielle comme il se doit, de @Vesper :
« Ce serait pas mal d'y arriver. Enfin libre de soi et peut-être à bon port 😉 »
Les habits sales, c’est profond ?
À suivre…
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